Lundi : 8h30 - 11h45 et 13h15 - 16h30
Mardi : 8h30 - 11h45 et 13h15 - 16h30
Mecredi : Pas cours
Jeudi : 8h30 - 11h45 et 13h15 - 16h30
Vendredi : 8h30 - 11h45 et 13h15 - 16h30
Lundi : 8h30 - 12h35 et 13h35 - 16h40
Mardi : 8h30 - 12h35 et 13h35 - 16h40
Mecredi : 8h30 - 12h30
Jeudi : 8h30 - 12h35 et 13h35 - 16h40
Vendredi : 8h30 - 12h35 et 13h35 - 16h40
Lundi : 8h30 -12h45 et 13h15 - 17h30
Mardi : 8h30 -12h45 et 13h15 - 17h30
Mecredi : 8h30 - 12h30
Jeudi : 8h30 -12h45 et 13h15 - 17h30
Vendredi : 8h30 -12h45 et 13h15 - 17h30
Samedi : Fermé
Dimanche : Fermé
Adresse : 3, Avenue Maunoury - 41500 MER
Tél : 02 54 81 02 55
Email :
Téléphoner au secrétariat au 02 54 81 02 55 afin de convenir d’un rendez-vous avec la direction.
Télécharger la fiche de pré-inscription ci-dessous et la retourner au secrétariat, accompagnée des documents demandés. Vous serez contactés pour un rendez-vous avec la direction.
Développer une pédagogie inventive qui prenne en compte chaque élève dans sa complexité et son unité de corps, cœur, intelligence, âme et relations pour former des citoyens honnêtes et responsables qui répondent à leur vocation.
Depuis 1970, notre établissement rassemble les filles de l’école Notre-Dame du Sacré-Cœur confiées à l’origine aux Sœurs de la Providence et les garçons de l’école Saint-Joseph fondée en 1879 par les Frères de la doctrine chrétienne présents à Mer depuis 1852.
Sous tutelle du diocèse de Blois, notre établissement appartient à l’Enseignement Catholique. Il travaille en lien avec la paroisse et les mouvements d’Eglise. Il se doit d’être un lieu qui offre la rencontre avec Jésus.
Notre établissement contribue au projet de l’enseignement catholique diocésain. Ainsi : en septembre 2007, il s’est enrichi d’un dispositif ULIS pour accueillir des collégiens présentant des troubles des fonctions cognitives ; depuis 2009 les élèves bénéficient de temps réservés à l’éducation à la relation. Il participe au réseau d’établissements et se montre solidaire.
Par vocation notre établissement est au service des familles du secteur de Mer et des communes environnantes. Afin qu’il joue pleinement son rôle, nous nous efforçons de travailler en partenariat avec tous les acteurs locaux : municipalités, communauté de communes, associations, entreprises…
Notre établissement se doit d’être un lieu qui ouvre à nos élèves de nouveaux horizons, qui fait découvrir la diversité des intelligences, des caractères, des modes de vie, des cultures chez les autres qu’ils soient proches ou lointains, présents ou passés.
L’ensemble des adultes de l’établissement - enseignants, parents, personnels d’éducation ou de service, membres de l’organisme de gestion, prêtre référent - participe à l’éducation des enfants, de façon complémentaire. La communication et l’organisation d’évènements variés sont garantes de la vie et des progrès de cette communauté.
« Heureux les pauvres » la première des Béatitudes, fondement de notre caractère propre, nous impose un regard bienveillant sur toutes nos fragilités qu’elles soient d’ordre spirituel, intellectuel, comportemental, financier, social.
Primaire & Collège
Primaire
A ce moment les disciples s'approchèrent de Jésus et dirent : « Qui donc est le plus grand dans le Royaume des Cieux ? ». Il appela à lui un petit enfant, le plaça au milieu d'eux et dit : « En vérité je vous le dis, si vous ne retournez à l'état des enfants, vous n'entrerez pas dans le Royaume des Cieux. Qui donc se fera petit comme ce petit enfant-là, celui-là est le plus grand dans le Royaume des Cieux. « Quiconque accueille un petit enfant tel que lui à cause de mon nom, c'est moi qu'il accueille... Gardez-vous de mépriser aucun de ces petits : car, je vous le dis, leurs anges aux cieux voient constamment la face de mon Père qui est aux cieux … »
Matthieu 18, 1-6 ;10
L’animation pastorale est assurée par un prêtre référent, des enseignants, des parents, des bénévoles avec le concours et sous la responsabilité des chefs d’établissement de l’école et du collège. Un Groupe d’Animation Pastorale (G.A.P.) coordonne les actions menées au collège et à l’école primaire.
Les parents et bénévoles sont toujours bienvenus pour participer aux travaux du G.A.P. Vous trouverez les dates de ces réunions sur notre agenda.
La catéchèse est assurée par la paroisse pour préparer à la première communion, à la profession de foi et à la confirmation. Eveil à la foi à partir de 4 ans et catéchisme sur quatre années de 8 à 11 ans, et aumônerie pour les collégiens.
Il pleut ce 22 février 1880, mais à 14h00, le soleil illumine l’école Saint-Joseph récemment construite. L’œuvre de l’architecte Blésois, Martin-Monestier , un édifice typiquement scolaire malgré son allure de grosse maison, n’aurait pas vu le jour sans la générosité de Madame Alexandrine Elisa Pinsard née Godineau. Depuis septembre, il accueille 101 garçons qui étudient sous la direction de Frère Amarien. Monseigneur Laborde, évêque de Blois, s’adresse du perron à plus de 1200 personnes réunies pour l’inauguration. L’éloquent prélat voit dans cette nouvelle école un « sanctuaire de l’intelligence et du cœur » où les enfants apprendront les deux préceptes qui renferment la loi : l’amour de Dieu et du prochain. Son prône se termine par une vibrante charge contre les lois Ferry qui s’annoncent. Les frères des écoles chrétiennes chargés de ce nouvel établissement ne sont pas des nouveaux venus à Mer. En 1852 la commune leur a confié l’école publique. Mais en 1877, le conseil municipal à majorité radicale ayant choisi de faire ouvrir une école laïque, une guerre scolaire a commencé, laissant les frères et leurs élèves dans une situation matérielle précaire. Les sœurs de La Providence de Ruillé sur Loir, elles aussi, éduquent les filles à Mer depuis de nombreuses années quand est fondée l’école Notre-Dame du Sacré-Cœur mitoyenne de l’école Saint-Joseph. C’est, une nouvelle fois, grâce aux largesses de Madame Pinsard et avec l’aide de Monsieur Georges Alphonse Pernet, que cette fondation a été rendue possible. Les deux notables ont acheté de leurs deniers, chacun pour moitié, le 23 décembre 1881, une maison place de l’église avec cour et jardin s’étendant jusqu’au Boulevard de la Gare, pour y édifier deux bâtiments parfaitement équipés de mobiliers scolaires. Ainsi le 1er septembre 1882 Sœur Françoise de Chantal née Augustine Marie Gaudin est-elle autorisée à ouvrir une salle d’asile ou école maternelle place de l’Eglise. Il faudra attendre un an pour l’école primaire. En 1886 Sœur Marie-Rosalie demande l’autorisation d’ouvrir un internat de 17 lits. Le programme des matières enseignées aux jeunes filles est complet :
Les frères des écoles chrétiennes comme les religieuses de La Providence de Ruillé sur Loir tiennent les écoles privées jusqu’à la loi du 7 juillet 1904 qui leur interdit d’enseigner. Cette loi suivie de celle de 1905 qui sépare l’Eglise et l’Etat va de nouveau envenimer les relations entre la paroisse et la mairie.
L’histoire de ces écoles n’est pas dissociable de celle de la paroisse et de ses associations : la fanfare « La Fraternelle », l’association sportive « L’étoile Saint-Hilaire » fondée en 1910 par le vicaire René Rozet avec exactement le même objet que « La Méroise », l’association laïque : « clique (NDLR : comprendre fanfare) et gymnastique plus tir prépa-militaire », le patronage avec sa salle de théâtre et la « Croisade Eucharistique ». Elle nous fait voir l’acharnement, le souci constant des chrétiens mérois de tout faire pour offrir à leurs enfants une éducation, sportive, culturelle, intellectuelle et spirituelle complète. Le tout dans la bonne humeur.« Avec ta ménagère Si t’aime la distraction L’Patronage Saint-Hilaire Donn’ des représentations On y joue d’la musique On fait d’la gymnastique Pendant la bonn’ saison Et pendant les veillées Lorsque tu t’ennuieras Viens passer la soirée Avec ta femme au cinéma » peut-on lire au troisième couplet du refrain populaire « Viens à Mer » à chanter sur l’air de « Tu verras Montmartre » certainement imprimé par le Patronage dans les années trente, vu la police de caractères utilisée pour le titre. Les photos, que les vieux Mérois gardent jalousement, témoignent à la fois de la vitalité de la communauté chrétienne d’entre deux guerres et du lien étroit entre la paroisse et l’école.Pour autre preuve ces deux programmes imprimés avec les mêmes décors sur le même format, l’un par les « écoles libres de Mer » pour une « Distribution Solennelle des Prix » et l’autre par le « Patronage Saint-Hilaire de Mer » pour une séance récréative. Et quels programmes ! Vous pouvez les découvrir en agrandissant les affiches ci-contre. Avec cette exubérance contraste la situation matérielle des écoles entre les deux guerres pudiquement évoquée par Mademoiselle Jeanne Poutignat dans sa contribution à la petite plaquette éditée en 1979 à l’occasion du centenaire. Elle et son père ont trouvé en 1924 un effectif de 26 élèves. Elle s’occupait des 6 à 8 ans et son père des plus grands. Pour essayer de « peupler » son école, Monsieur Poutignat ouvre à nouveau la demi-pension et l’internat avec une quinzaine de lits. Son épouse assure les repas, le ménage, le blanchissage. En 1937, la voyant épuisée, Monsieur Poutignat demandera la permission de le fermer. A sa mort, le 15 aout 1940, l’école ne comptait toujours que deux classes mais avec 48 élèves en première classe et 46 en seconde. Le trop court témoignage de Mademoiselle Poutignat évoque la pauvreté, les privations, une famille totalement dévouée à l’éducation des enfants, la fierté de la réussite des élèves au « C.E.P. » et surtout le bonheur de « former une élite de futurs chrétiens pour la paroisse ». La misérable situation financière de l’école et des maîtres de cette époque est confirmée par l’article, dans le même opuscule, du Père Maupou qui se souvient, quand lui n’était que vicaire, d’avoir maintes fois entendu l’abbé Rozet son curé, grand blessé de guerre, lui dire : « heureusement que j’ai ma pension sans quoi nous ne tiendrions pas les écoles ». Ceci explique sans doute cette image austère laissée par Monsieur Poutignat dans le souvenir des anciens et que l’on retrouve sur une photo qu’il nous reste de l’époque.
Au cœur de cette aventure le Groupe Saint-Hilaire, une association propriétaire fondée par les paroissiens en 1935 pour acheter à la famille Guillaume la maison qu’elle avait prêtée aux deux prêtres chassés de leur presbytère en 1905. En 1951 la famille de Sachy, héritière de Madame Pinsard, fait apport de l’immeuble à usage d’école de garçons au Groupe Saint-Hilaire. Les héritiers de la famille Pernet feront de même le 17 juillet 1959 avec l’école de filles. Ainsi l’association se trouve à la tête d’un patrimoine important. En 1950 elle achète une « colo » aux Contamines « Les Charmettes ». Nombre d’anciens élèves en garde un souvenir ému. Elle devra la revendre en 1987 pour pouvoir entretenir ses bâtiments et acheter l’immobilier paroissial, centre stratégique du patronage : immeuble de l’actuelle salle paroissiale, salle et cour dites désormais des « Charmettes ». Cet ensemble ainsi que le stade de football dit « de l’Etoile » sur la route d’Orléans appartenaient à la famille Bergeron. Le dernier survivant, Maitre Jacques Bergeron les a légués à la fédération des patronages : Fédération Sportive et Culturelle de France. En 2001 l’ensemble des biens utilisés par la paroisse, y compris le presbytère, seront transférés à l’Association Diocésaine et le 28 août 2008, Monsieur René Hémon, président du « Groupe Saint-Hilaire », signe les actes de transfert de propriété pour l’ensemble du patrimoine scolaire à la Fondation Victor Dillard. Il ne reste plus au Groupe Saint-Hilaire qu’un calvaire dit « Croix du Vœux » situé route nationale.
Déjà en 1870 les écoles de Mer avaient été transformées en hôpital de fortune, les frères les sœurs se consacrant totalement aux secours des malades. On peut lire, en date du 19 mars 1871 dans un article de l’Indépendant que l’on ne peut pas taxer de clérical : « … jusqu’à ce jour, le personnel des deux communautés, a consacré tout son temps, depuis bientôt six mois, autour des malades et des blessés militaires dans leurs établissements convertis en ambulance. » Leur abnégation ira jusqu’à la mort d’un jeune frère de 25 ans. En mai 1915, le ministre de la guerre « prescrit aux recteurs de rechercher eux-mêmes des locaux nouveaux susceptibles d'être transformés en hôpitaux et d'étudier, d'accord avec le service de santé, les délais qu'il conviendra d'accorder pour l'évacuation de ceux de ces établissements où se trouvent des pensionnaires. » Le 31 mai le colonel Herouart, commandant des dépôts de la 18ème brigade d'infanterie et des 7ème et 8ème subdivisions demande la liste complète des établissements d'enseignement libre situés dans le Loir-et-Cher et restés exempts de réquisition. A l’automne l’école Saint-Joseph est désormais l’hôpital complémentaire n°74. Il accueille des convalescents. On compte en novembre, 32 lits dans l’école de garçons et 84 dans l’école de filles. Sur une carte postale qui représente le bâtiment principal du collège avec l’indication « Mer – Hôpital complémentaire 74 » , quelques pensionnaires posant sur le perron, des commentaires facétieux ont sans doute été écrits par l’un d’entre : « Ma villa !; On les aura ; Continental Hôtel ; Hôtel de tout premier ordre, eau, gaz, élektricité (sic) à tous les étages, vive la classe 138 !, garage, tennis… ». Pendant la seconde guerre mondiale les écoles seront réquisitionnées par l’armée française dès 39 puis occupées par l’armée allemande. Il reste gravées dans le tuffeau à l’entrée de deux bâtiments de l'école des filles des inscriptions en écriture gothique : « II Zug … ».
Le collège (C.E.G. – Collège d’Enseignement Général) est créé à la rentrée 1960, dès le début de l’application de la réforme du Ministre de l’Education Nationale Jean Berthoin, dans les locaux de l’école Saint-Joseph. Plus précisément est ouvert une classe de 6ème avec 9 élèves appelée « cours complémentaire ». C’est la première classe mixte du diocèse. Les deux établissements se mélangent donc déjà en maternelle coté école Notre-Dame du Sacré-Cœur et au collège côté Saint-Joseph. Les garçons et les filles ne sont plus séparés que dans les classes élémentaires. Dans le cadre de la loi Debré du 31 décembre 1959 un contrat simple est signé pour l’école primaire en 1961 et pour le collège en décembre 1963. Ce dernier nous apprend que 42 élèves sont répartis dans deux classes : la première groupant les 6ème et 5ème, la seconde les 4ème et 3ème . Trois maîtres assurent entre 27 et 29 heures de cours : Mademoiselle Tuffal le Français, les Mathématiques, la Couture, les Sciences naturelles, les Travaux de sciences expérimentales, la Musique, l’Education physique pour les filles, le Latin et l’Espagnol ; Madame Blondeau la Morale-Instruction civique, l’Histoire et Géographie, l’Anglais, la Couture, le Dessin, la Musique et le Latin ; Monsieur Blondeau le Français, l’Histoire et Géographie, les Mathématiques, les Travaux Manuels pour les garçons, la Physique-Chimie, les Sciences naturelles, l’Education physique pour les garçons et le Dessin. La contribution des familles est alors limitée à 25 francs par mois sur 9 mois. En 1971 les parents d’élèves des deux écoles Saint-Joseph et Notre-Dame du Sacré-Cœur réunis en une seule association sollicitent du Préfet, dans une lettre du 30 janvier, l’autorisation " de pratiquer la mixité dans ces classes et la fusion » des deux écoles. Conseil avait été demandé à la Fédération des A.P.E.L. de Loir et Cher. Une lettre du Président de ladite Fédération datée du 6 janvier engage le président de l’A.P.E.L. de Mer à avancer les arguments suivants : "
C’est dans une lettre à l’union départementale des A.E.P. (Associations d’Education Populaire) que le Préfet annonce sa décision d’autoriser la mixité dans « les écoles de Pontlevoy, La Ferté Beauharnais, Cour-Cheverny et des Montils d’une part et les écoles de Souge sur Braye, Montoire et Mer d’autre part ». Dans la même lettre le Préfet précise qu’en cas de fusion des deux écoles une nouvelle déclaration d’ouverture est nécessaire. Le 16 juin 1971 l’école « privée mixte avec classes enfantines, pensionnat et cours complémentaire annexes » est déclarée sous la dénomination de « Notre-Dame et Saint-Joseph ». Mais dans la mémoire Méroise, Saint-Joseph prend le pas sur Notre-Dame : on inscrit ses enfants à Saint-Joseph. Est-ce d’ailleurs volontaire ou les conséquences d’une distraction qui ressemblerait bien à un acte manqué, dans le contrat d’association signé pour le collège en mai 1977 Monsieur Jean-Pierre Lempereur agit en qualité de directeur de « l’Ecole Privée Catholique Saint-Joseph Notre-Dame ». Le journal officiel du 11 décembre 1979 confirme cet ordre en enregistrant l’A.E.P. sous son nouveau nom d’O.G.E.C. Saint-Joseph Notre-Dame. Le contrat d’association signé pour l’école en 1987 rétablit l’ordre initial. Dieu merci Notre-Dame n’en prend pas ombrage et continue de veiller activement sur les enfants de Saint-Joseph.
L’Association Sportive scolaire Saint-Joseph est née en 1970 au moment où s’apaise la guerre entre les « Blancs » et les « Rouges ». Sous la pression du Maire Maurice Robert Bauer récemment élu et avec la complicité de deux amis Monsieur René Hémon membre influent de « L’étoile Saint-Hilaire » et Monsieur Pierre Marionneau de « La Méroise » les deux associations sportives fusionnent pour créer l’Association Municipale Omnisport. Mais c’est Monsieur Christian Dabert, professeur d’Education Physique et Sportive au collège Saint-Joseph de 1977 à 2012 qui va lui faire acquérir la notoriété qu’on lui connaît aujourd’hui. Certainement cette A.S. Saint-Joseph a bénéficié de cette tradition sportive laissée par « L’étoile Saint-Hilaire ». En 35 ans elle peut s’enorgueillir de plus 60 podiums dont 20 titres nationaux en athlétisme surtout mais aussi en judo, natation et tennis de table. De toutes ces médailles obtenues dans des championnats U.G.S.E.L. les plus belles, les plus méritoires sont certainement les 7 gagnées en équipes, ces dernières rivalisant avec celles d’établissements aux effectifs près de dix fois supérieurs.
A l’origine une simple phrase lancée en fin d’année scolaire à l’école Victor Dillard, annexe de Notre-Dame des Aydes, par une maman à l’enseignante: « Ah ! Vous n’aurez pas mon petit dernier… il est trisomique ! ». L’enseignement catholique du diocèse de Blois n’était donc pas ouvert à tous ! Un contexte national favorable, le soutien du diocèse, un an de formation pour l’enseignante Marie-Thérèse Leroux et en 2002 une CLIS (Classe d’Intégration Scolaire) est ouverte à Notre-Dame de La Providence. Vite se pose la question de l’après. Dans quel collège peut-on ouvrir un dispositif qui puisse accueillir les élèves sortant de la CLIS ? Un groupe d’étude est constitué. Plusieurs collèges sont envisagés. Finalement le collège Saint-Joseph est retenu et la communauté éducative l’accepte comme une chance. L’UPI (Unité Pédagogique d’Intégration) qui va devenir ULIS (Unité Localisée d’Inclusion Scolaire) est ouverte à la rentrée 2007. Cette structure permet aujourd’hui de scolariser une dizaine d’élèves.
Sans être riche loin s’en faut, mais avec sans doute un peu plus d’aisance qu’aux époques héroïques, Saint-Joseph Notre-Dame compte plus de 200 élèves à l’école primaire répartis en huit classes (une par niveau) et 160 collégiens dans 7 classes avec un dispositif ULIS. La communauté éducative outre les 250 familles se compose de 24 enseignants et de 11 personnels éducatifs ou chargés de la cantine, du secrétariat, de la comptabilité ou de l’entretien. En avril 2016 a été inauguré un nouveau bâtiment qui accueille un laboratoire et une salle dédiée aux arts. En mai 2017 suivait un autre bâtiment qu’ont intégré les élèves de CM2 et les élèves d’une classe de 6°.
Le bâtiment principal du collège, emblème de l’établissement, œuvre de l’architecte Michel Martin-Monestier est une construction clairement industrielle, hygiéniste et scolaire. Il est constitué d’un corps principal de 10 mètres par 19 et d’un avant corps de 7 mètres sur 13. La grande largeur du corps principal oblige à soutenir les poutres qui constituent le plancher du premier étage avec deux colonnettes en fonte plantées au milieu des deux grandes classes du rez-de-chaussée. Le plancher du second quant à lui est suspendu aux quatre fermes, les entraits, reliés aux poinçons par de solides étriers, formant poutres. Cet ingénieux dispositif permet de dégager au premier étage un plateau de plus de 160 mètres carrés libre de toute structure. Le principe constructif, les colonnettes en fonte mais aussi les pierres taillées à une dimension uniforme sur tout le bâtiment témoignent de l’influence industrielle. Les plus de 4 mètres sous plafond du rez-de-chaussée pensés à une époque où l’on comptait l’espace en mètre cube par élèves plutôt qu’en mètre carré pour favoriser une bonne oxygénation ; le rez-de-chaussée surélevé à 75 cm du sol réel pour éviter l’humidité (Mer ne signifie-t-il pas marais ?) et l’obsession de faire rentrer la lumière partout avec ces grandes cloisons vitrées dans le hall, avec pas moins de cinq grandes fenêtres et une porte fenêtre pour éclairer les grandes classes montent bien que nous sommes à l’époque de Pasteur. Enfin l’organigramme est aussi simple que typiquement scolaire : quatre classes au rez-de-chaussée, à l’étage le logement des frères avec la chapelle dans l’axe, sous les toits les pensionnaires.
Notes et recherches de Madame Nicole Fiot professeur d'Histoire entre 1975 et 2007 :
Archives de l’établissement :
André PRUDHOMME, Histoire de Mer :
René HEMON, notes diverses :
Diverses :
Comment choisir ses enseignements de spécialité en seconde ?
Une ressource Onisep pour tester ses choix
B. Hermans
Forum de l'orientation au Jeu de Paume à Blois vendredi 16 et samedi 17 février, tous les renseignements :
http://www.onisep.fr/Pres-de-chez-vous/Centre-Val-de-Loire/Orleans/Agenda-de-l-orientation/Salons-et-Forums/Les-10-forums-de-l-orientation-en-region-Centre-Val-de-Loire/Forum-de-l-Orientation-de-Blois
Une plateforme interactive pour découvrir les métiers de la propreté :
http://www.parcours-avenir-proprete.com/
Aux élèves de 3° et 4° :
de nombreuses affiches, dans le hall du collège, vous informent des portes ouvertes des établissements de l'académie. N'hésitez pas à noter ces dates !
La plupart des établissements propose des mini-stages. Si vous êtes intéressés, demander les formulaires au cdi.
BH
Directrice : Mme Cathy ECAROT
Inscription : Téléphoner au secrétariat afin de convenir d’un rendez-vous avec la direction.
Cantine : Sur place, réfectoire particulier pour les maternelles.
Garderie : Garderie le matin dès 7h15 et le soir jusqu'à 18h15.
Transport : Transports gratuits pour la plupart des communes ( renseignements auprès du secrétariat ).
Accueil des petites sections tout au long de l'année
Eveil religieux, crèche vivante, célébrations
Spectacle de fin d’année
Olympuces : moyenne et grande sections se rencontrent pour disputer des épreuves « Olympiques »
Directrice : Mme Cathy ECAROT
Inscription : Téléphoner au secrétariat afin de convenir d’un rendez-vous avec la direction.
Cantine : Sur place, self service.
Garderie : Garderie le matin dès 7h15 et le soir jusqu'à 18h15.
Transport : Transports gratuits pour la plupart des communes ( renseignements auprès du secrétariat ).
Animateur sportif du CP au CM2
Une méthode de lecture syllabique
Eveil religieux, crèche vivante, célébrations
Chorale & Cross
Découverte des langues anglaise et allemande
Informatique : initiation aux cycles 2 et 3
Spectacle de fin d’année
Etude dirigée en CP – CE1, surveillée en CE2 – CM1 – CM2
Un projet culturel chaque année (cirque en 2015/2016, astronomie en 2016/2017, conte en 2017/2018)
Réseau ASH : une enseignante spécialisée (2 jours par semaine) pour le cycle 2
Directrice : Jean-Luc CARDIN
Inscription : Télécharger la fiche de pré-inscription dans la partie "Informations" et la retourner au secrétariat, accompagnée des documents demandés. Vous serez contactés pour un rendez-vous avec la direction.
Cantine : Sur place, self service.
Étude : Possibilité d'étude surveillée le soir après la classe.
Transport : Transports gratuits pour la plupart des communes ( renseignements auprès du secrétariat ).
8 divisions de la 6ème à la 3ème avec un dispositif ULIS (TFC)
Théâtre en 4ème, 3 films par an et par niveau en lien avec les programmes...
Prêt gratuit des livres scolaires
Une salle réservée à chaque classe, ce sont les professeurs qui se déplacent et non les élèves
Anglais LV1, allemand et espagnol LV2, Latin
Initiation à l'allemand LV2 dès la 6ème
Séjours culturels et linguistiques en Angleterre. Echange avec un collège/lycée allemand
Une semaine culturelle d'intégration pour les 6èmes en début d'année
Des activités tous les jours de la semaine pour permettre aux élèves de développer d'autres compétences : Chorale, théâtre, scrapbooking, bricolage et cinéclub
Stage en entreprise en 3ème
Une association sportive dynamique le mercredi après-midi, un point fort de notre institution
Partenariats avec des clubs sportifs et des services culturels municipaux
Des classes à horaires aménagés pour permettre des entraînements sportifs
Une heure par quinzaine d'instruction religieuse dans toutes les classes
Participation à des concours (Kangourou des maths, concours national de la Résistance et de la Déportation, Dis moi dix mots…)
Formation PSC1 pour les élèves de 3ème
Service de restauration sur place. Self service pour le primaire et le collège. Réfectoire particulier pour les maternelles.
Chers parents, cette rubrique, mise à jour régulièrement, est destinée à soutenir nos projets dans un esprit d'attention à l'environnement.
En effet, tout ce qui sera demandé doit être l'occasion de donner une seconde vie à ces objets de la vie quotidienne dont nous ne savons plus que faire.
N'hésitez, donc, pas à consulter fréquemment ces petites annonces.
En raison du protocole sanitaire, nous consommons une moyenne de 10 litres d'alcool à 70° toutes les semaines.
Si la récupération de bidons de 5 litres vous intéresse ou vous avez besoin de pulvérisateurs (type produit pour les vitres), n'hésitez pas à venir nous solliciter !
- sinon ils partiront à la poubelle !
- vous adresser à M. Mercier, Vie Scolaire du collège.
L'atelier DIY (do it yourself) cherche une ou plusieurs machines à coudre pour relancer son atelier !
- Rapprochez vous de M. MERCIER en vie scolaire
Si vous avez de "vieux" téléphones, en panne, qui encombrent vos tiroirs... n'hésitez pas à les apporter à la vie scolaire du collège.
Ils seront utilisés pour les formations aux premiers secours avec vos enfants,
- Se rapprocher de M. MERCIER en vie scolaire